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    GRAND MASTERS TOURNAMENT

    FINAL RANKING

     

    1 Vachier-Lagrave, Maxime 6,5

    2 Wojtaszek, Radoslaw 6

    3 Navara, David 5,5

    4 Adams, Michael 5,5

    5 Eljanov, Pavel 4,5 

    6 Rapport, Richard 2

     


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  • TOP 20

    1ER AOUT 2015

     

    1 Carlsen 2853

    2 Anand 2816

    3 Topalov 2816

    4 Nakamura 2814

    5 Caruana 2808

    6 Giri 2793

    7 So 2779

    8 Kramnik 2777

    9 Grischuk 2771

    10 Ding Liren 2770

    11 Aronian 2765

    12 Jakovenko 2757

    13 Karjakin 2757

    14 Li Chao 2748

    15 Tomashevsky 2745

    16 Vachier-Lagrave 2744

    17 Adams 2742

    18 Wojtaszek 2741

    19 Gelfand 2741 

    20 Harikrishna 2740

     


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    MASTERS TOURNAMENT (11 rounds)

     

    FINAL RANKING

     

    1. Sutovsky, Emil ( 2619 , ISR ) 8.0 pts

    2. Adhiban, Baskaran ( 2627 , IND ) 8.0

    3. Gharamian, Tigran ( 2649 , FRA ) 7.5

    4. Fridman, Daniel ( 2639 , GER ) 7.5

    5. Bartel, Mateusz ( 2631 , POL ) 7.5

    6. Wagner, Dennis ( 2569 , GER ) 7.5

    7. Ivanisevic, Ivan ( 2662 , SRB ) 7.5

    8. Solak, Dragan ( 2622 , TUR ) 7.0

    9. Fier, Alexandr ( 2628 , BRA ) 7.0

    10. Bok, Benjamin ( 2562 , NED ) 7.0

    11. Donchenko, Alexander ( 2567 , GER ) 7.0

    12. Erdos, Viktor ( 2610 , HUN ) 7.0

    13. Moiseenko, Alexander ( 2710 , UKR ) 7.0

    14. Bogner, Sebastian ( 2544 , SUI ) 7.0 

    15. Svane, Rasmus ( 2531 , GER ) 7.0

    ...

     

     


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  • LES ECHECS HONGROIS...

    AU XIXe SIECLE

     

     

    Les premiers documents écrits remontent au Moyen-Age, mais le premier livre d'échecs en langue magyare a été publié en 1758. Cependant, les résultats des compétitions ne sont enregistrés qu'à partir du milieu du XIXe siècle.

    En 1851, au tournoi de Londres, deux Hongrois sont invités : Löwenthal : expulsé de Hongrie en 1848, il avait émigré aux États-Unis en 1849, puis quitta ses affaires pour venir disputer le tournoi à Londres en 1851, et Szén. Ce dernier atteignit la cinquième place.

     

    En 1867, le baron Ignaz von Kolisch remporta le tournoi international d'échecs de Paris devant Szymon Winawer et Wilhelm Steinitz.

     

    Digne héritier de Lowentahl, Isidor Gunsberg (gravure) fit partie de l'élite mondiale dans les années 1880 (chessmetrics le place #1 en février 1889) et fut le premier hongrois à disputer un match de championnat du monde d'échecs, face à Wilhelm Steinitz en 1890-1891 (perdu +4 =9 -6).

    Gunsberg était à la lutte dans son pays avec Miksa Weiss. Celui-ci se fit remarquer en 1882 en termina dixième du tournoi de Vienne où il annula avec le vainqueur Wilhelm Steinitz et battit Johannes Zukertort (futur candidat mondial). Il termina deuxième des congrès allemands de Hambourg 1885 (ex æquo notamment avec Blackburne et Tarrasch, quatrième congrès allemand remporté par Gunsberg). En 1889, il remporta le congrès international américain de New York, ex æquo avec Tchigorine). À partir de 1880, avec Carl Schlechter, Weiss contribua à fonder l'école viennoise influencée par Wilhelm Steinitz, avec Wolf, Marco et Maroczy.

     

    A partir des années 1890 les échecs hongrois purent compter sur Gyula Makovetz. Il fonda le club d'échecs de Budapest Budapesti Sakkozó Társaság, qui publia sous sa direction le premier journal hongrois d'échecs Budapesti Sakkszemle. Makovetz remporta en 1890 le premier tournoi du club avec un score de 100 %. Il remporta également la même année le tournoi de Graz devant Johann Bauer et Emanuel Lasker qu'il battit dans la partie les opposant.

    Après une série de défaites, Makovetz douta de ses capacités à haut niveau et quitta le monde des échecs.

    Une autre personnalité émergea en cette fin du XIXe siècle : Rudolf (ou Rezső) Charousek En 1893, il perdit un match contre Gyula Makovetz. Il se lia d'amitié avec l'ingénieur hongrois Maróczy, avec lequel il jouait souvent. Charousek était si pauvre que, ne pouvant se payer un exemplaire du volumineux recueil d'ouvertures de Bilguer, il le recopia dans les bibliothèques publiques. Sous-alimenté, il contracta bien vite la tuberculose. Charousek prit part au premier tournoi d'échecs par correspondance en 1893, qui était organisé par le royaume de Hongrie, et partagea le premier prix avec Maróczy. À la suite de ses premiers succès à Budapest, on commença à inviter Charousek dans les tournois internationaux. Il fit sensation au tournoi de Nuremberg en 1896, en remportant une victoire éclatante contre le champion du monde Emanuel Lasker. Charousek termina douzième avec 8,5 points sur 18. Au printemps de la même année, il partagea la première place avec l'ancien candidat au titre Mikhail Tchigorine (8,5 points sur 12) au tournoi du jubilé de Budapest, mais perdit lors du match de départage (1 à 3).

    La Société d'échecs de Berlin organisa en 1897 un mémorial à l'occasion des 70 ans du club. Charousek remporta cette compétition empochant la récompense de 2 000 Marks.

    Au tournoi de Cologne en 1898, il fut deuxième ex æquo avec deux autres joueurs, puis il remporta le « tournoi des quatre maîtres » de Budapest devançant Maróczy. Après de tels succès, Charousek fut pressenti comme candidat contre Lasker pour le titre mondial, mais la rencontre n'eut jamais lieu: Charousek mourut en 1900, à 26 ans, de tuberculose. 

    Le statisticien américain Jeff Sonas a estimé son classement à 2 734 atteint en mars 1900. De mai 1899 à avril 1900 il était classé comme le 6e meilleur joueur du monde.

     


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  • LES ECHECS HONGROIS...

    DE 1900 A L'ENTRE DEUX GUERRES

     

    Les échecs en Hongrie au début des années 1900 fut dominés par quatre joueurs : Leó Forgács, Lajos Asztalos, Gyula Breyer (dont nous reparlerons) et surtout l'un des plus grands noms de ce sport : Géza Maróczy (photo).

    Bien qu'il n'eut jamais disputé de match pour le championnat du monde d'échecs, il fit partie de l'élite mondiale pendant quarante ans (de 1895 à 1936, classé #1 par chessmetrics 30 mois entre octobre 1904 et mars 1907). Champion de Hongrie en 1932, il remporta les olympiades d'échecs de 1927 et 1936 avec la Hongrie et finit deuxième de l'olympiade de 1930, La fédération internationale lui décerna le titre de grand maître international des échecs lors de la création du titre en 1950.

    Joueur au style défensif, il a surtout su s'imposer face aux joueurs d'attaque, tels Frank Marshall (+11 -6 =8) et Joseph Henry Blackburne (+5 -0 =3).

    Sa défense victorieuse face à un gambit danois contre Jacques Mieses, ainsi que Karl Helling, parties au cours desquelles il rend du matériel contre des avantages de temps et de position, est qualifiée de modèle défensif par Max Euwe et Kramer dans leur volume double sur le milieu de partie. Aaron Nimzowitsch, dans Mon système, a présenté le gain de Maróczy contre Hugo Süchting (Barmen, 1905) comme un modèle de restriction de l'adversaire avant de pénétrer ses défenses. Sa maîtrise de finales de dames, comme dans une partie contre Frank Marshall (Karlovy Vary, 1907), était vue comme supérieure. Il était aussi capable, à l'occasion, de jouer des parties éblouissantes, dont sa fameuse victoire contre le joueur d'attaque David Janowski (Munich, 1900).

    Maróczy a donné son nom à l’étau de Maróczy, une formation de pions blancs qui survient dans la défense sicilienne. En positionnant leurs pions à e4 et à c4, les blancs réduisent légèrement leur capacité d'attaque, mais réduisent de façon marquée les possibilités de contre-attaque noire.

     

    Quant à Gyula Breyer (#9 mondial entre septembre 1917 et janvier 1918 selon chessmetrics), il fut l'un des fondateurs de l'école hypermoderne. En 1920, il termine premier dans un tournoi à Berlin, devant Bogoljubov, Tartacover, Réti, Maroczy et Tarrasch. Une maladie du cœur à coupé court à la prometteuse carrière d'échecs de Breyer. Il meurt en 1921 à Bratislava, à l'âge de 28 ans. Dans la théorie échiquéenne, on retrouve plusieurs variantes d'ouvertures portant son nom, notamment l'auteur d'une variante de la partie espagnole.

     

    1921 voit également la création de la fédération hongroise d'échecs.

     

    A compter des années 20, la Hongrie se fit remarquer lors des Olympiades.

    En 1924, les joueurs hongrois, dont les frères Steiner (Lajos et Endre)et Andor Lilienthal, disputèrent plusieurs tournois d'entraînement en vue du tournoi olympique de Paris. Les joueurs hongrois remportèrent la médaille d'argent lors de l'olympiade non officielle de 1924 à Paris. En 1926, la Hongrie remporta le tournoi par équipes (olympiade non officielle) de Budapest. Lors de la première olympiade officielle disputée à Londres en 1927, l'équipe de Hongrie remporta la médaille d'or. En 1928, lors de la deuxième olympiade officielle disputée à La Haye en 1928, l'équipe de Hongrie remporta à nouveau la médaille d'or. 

    En 1936, la Hongrie remporta la victoire lors de l'olympiade non officielle de Munich en Allemagne.


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  • LES ECHECS HONGROIS...

    DE L'APRES GUERRE AUX ANNEES 80

     

    De l'après guerre jusqu'aux année 70, Gédéon Barcza fut l'un des meilleurs joueurs Hongrois : il remporta huit fois le championnat national entre 1942 et 1966 (en 1942, 1943, 1947, 1950, 1951, 1955, 1957 et 1958) et représenta son pays à sept olympiades d'échecs : six fois entre 1952 et 1962 ainsi qu'en 1968. Lors des olympiades, il remporta une médaille d'or individuelle au troisième échiquier en 1954 et une médaille de bronze par équipe en 1956. Barcza était connu pour son style positionnel. Il a donné sa préférence à l'ouverture caractérisée par les coups 1.Cf3, d5 ; 2.g3 et 3.Fg2 et connue comme le « système Barcza ». Cette ouverture réserve la possibilité de rentrer soit dans une ouverture anglaise, soit dans une ouverture hypermoderne comme l'attaque est-indienne par interversion de coups.

    En 1950, la FIDE lui décerna le titre de maître international et en 1954 celui de grand maître international.

    Barcza était en concurrence dans son pays avec László Szabó qui fut également huit fois champion de Hongrie entre 1935 et 1968, représenta la Hongrie à 11 Olympiades, jouant au premier échiquier à cinq reprises. En 1937, il prend la médaille de bronze par équipes, et la médaille d'argent individuelle. Szabó est le meilleur joueur hongrois pendant près de vingt ans (avant de laisser la place à Lajos Portisch dans les années 1960) et au sommet de sa carrière, il fut l'un des douze meilleurs joueurs du monde.

    Pal Benko fut un cas à part dans l'Histoire des échecs en Hongrie.

    Champion d'échecs de Hongrie à l'âge de 20 ans, Benko défend les couleurs de son pays à l'Olympiade d'échecs de Moscou en 1956 au 3e échiquier avec un score de 10/15 et une médaille de bronze collective. Mais après les Olympiades étudiantes de Reykjavik en 1957, il émigra aux États-Unis en 1958 et sa carrière se poursuivit sous le drapeau de l'oncle Sam.

    D'autres joueurs hongrois se sont distingués durant les années 50-60, comme Levente Lengyel, Győző Forintos ou László Bárczay.

     

    A compter du milieu des année 60, Lajos Portisch (photo) fut un des plus forts grands maîtres non soviétiques (#3 mondial en décembre 1980). Il a participé à dix matchs des candidats au championnat du monde de 1965 à 1989, remporté quatre fois le tournoi de Wijk aan Zee (en 1965, 1972, 1975 et 1978) et neuf fois le championnat de Hongrie de 1958 à 1981.

    1978 et 1980 sont deux grandes années pour les Echecs hongrois : en 1978 la Hongrie crée une grosse surprise en remportant les Olympiades, car l'URSS n'était invaincue depuis son adhésion à la FIDE (l'URSS était absente deux ans auparavant à Haïfa pour cause de boycott). L'équipe était composée de Portisch, Ribli, Sax, Adorjan, Csom et Vadasz.

    En 1980, la compétition fut passionnante. Les deux nations terminèrent avec le même nombre de points, l'URSS ne gagnant que grâce au départage du système Buchholz. La Hongrie confirme donc sa prestation précédente, secouant l'hégémonie de l'URSS dans cette discipline. La Hongrie (Portisch, Ribli, Sax, Csom, Faragó, Pintér) tint tête à une énorme équipe soviétique (Karpov, Polougaïevski, Tal, Geller, Balachov et Kasparov). 

    Dans les années 80, Portisch était talonné par Guyla Sax qui atteignit le douzième rang mondial en 1989. Zoltán Ribli et József Pintér complétait souvent une équipe de Hongrie toujours bien placée lors des Olympiades.

     


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  • LES ECHECS HONGROIS...

    AUX TEMPS MODERNES

     

    A compter des années 1980, le classement mondial féminin fut impacté par la famille Polgar. Susan, Zsofia et Judit vinrent tour à tour au sommet de la hiérarchie, une hégémonie familiale unique dans l'histoire des échecs.

    Judit fut si forte qu'elle ne concourait qu'avec les hommes, et ne disputa pas de championnat du monde féminin. Elle est sans conteste la meilleure joueuse de tous les temps et atteignit deux fois le top 10 mondial.

     

    Le flambeau chez les hommes durant les années 2000 fut porté par Zoltán Almási, champion de Hongrie en 1999, 2000, 2003 et 2006.

     

    Longtemps considéré comme un enfant prodige, Peter Leko fut le grand espoir de la Hongrie des années 90 et 2000. Il obtint les titres de champion du monde des moins de 16 ans et de grand maître international en 1994, à 14 ans et 4 mois, devenant alors le plus jeune grand maître de l'histoire du titre.

    Sa réputation de joueur qui ne prend pas de risque et qui se contente souvent de la partie nulle laissait douter de son ambition d'être champion du monde. L'ex-champion du monde Anatoli Karpov a même déclaré que « personne ne deviendrait champion du monde avec un style aussi conservateur ! ».

    Lékó remporta en 1999 le tournoi de Dortmund, en 2003 le tournoi de Linares et en 2005 le tournoi de Wijk aan Zee.

    Après avoir gagné le tournoi des candidats de Dortmund en 2002, il disputa un match pour la couronne mondiale contre Vladimir Kramnik en octobre 2004. Le score final du match (7-7) permit à Kramnik de conserver son titre.

     

    Le nouvel espoir Hongrois s'appelle Richard Rapport. Au 1er janvier 2015, son classement Elo est de 2 716 points, ce qui en fait le premier junior (moins de 20 ans au 1er janvier), le 32e joueur mondial et le numéro 2 hongrois.

     

     


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    LE CAFE DE LA REGENCE

     

     

    Le café de la Régence est un café parisien en activité de 1681 à 1910. Il fut pendant longtemps, au XVIIIe et au XIXe siècles, le centre du jeu d’échecs en Europe. Les joueurs d’échecs les plus connus de leur temps y ont tous disputé des parties.

    Vers 1740 il devint un lieu de rendez-vous pour les joueurs d’échecs parisiens qui auparavant se rencontraient au café Procope dans la Rue de l'Ancienne-Comédie. Les habitués du café étaient des célébrités comme Diderot, Rousseau, Philidor, Napoléon Bonaparte ou Benjamin Franklin. Des maîtres d’échecs comme Kermur de Legal et plus tard Lionel Kieseritzky et Daniel Harrwitz le fréquentèrent en tant que joueurs professionnels.

    Pendant de nombreuses d’années on y montrait une table d’échecs en marbre à laquelle Napoléon, alors Bonaparte, avait joué en 1798. À côté des échecs, on pratiquait aussi les dames ou le billard.

    À l’automne 1843 le café de la Régence fut témoin du duel entre les deux meilleurs joueurs de l’époque, Pierre Saint-Amant et Howard Staunton. Staunton gagna avec 11 victoires, 6 défaites et quatre parties nulles. Pendant son voyage en Europe, en 1858/59, Paul Morphy s’y tint fréquemment lui aussi et il vainquit Harrwitz lors d’une rencontre par 5,5 à 2,5. Ce fut le chant du cygne dans l’histoire des échecs de ce café, car après commença un lent déclin. Par la suite, tout de même, certains événements d’échecs importants y eurent encore lieu, ainsi vers 1894 un concours par correspondance contre le club d’échecs de Saint-Pétersbourg finit par un match nul.

     

    Après un changement de propriétaire, le café fut transformé en restaurant en 1910. Finalement, en 1916, les joueurs d’échecs se transférèrent au café de l'Univers. A sa place se tient désormais l'Office national marocain du tourisme,161 rue Saint Honoré 75001 Paris .

     


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    MAT EN 2

     

     

     

    solution : 

    1 Qg3 ....(white move...)

    2 Bh3# 


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    CAMPEONATO DEL MUNDO 1951

     

     

    LIBERTAD SOBRE TODO ...

     

     

    Este fue uno de los campeonatos más importantes del mundo, la más inusual y el más apretado de la historia del ajedrez. Primer juego de la post-guerra (y la primera desde los catorce años), que se opusieron a dos campeones de todo en contra, y se caracterizó por una extraña principio (ocho jugadores usando dos aberturas completamente diferentes en los primeros ocho partes) un crossover fin permanente y dramático (el retador pierde la penúltima parte adquirida o menos un beneficio).

     

    Coincide las condiciones acordadas en el 1949 FIDE congreso en París El ganador sería el primero en anotar 12 puntos en 24 juegos máxima.

    En caso de empate, Botvinnik retuvo su título.

    El control de tiempo fue de 40 movimientos en 2 1/2 horas, luego de 16 movimientos por hora a partir de entonces, con un aplazamiento para el día siguiente, después de cinco horas de juego. De acuerdo con las reglas de la FIDE, el ganador recibirá 5.000 y el perdedor $ 3,000 USD. Si el campeón del mundo (Botvinnik) perdió, tenía el derecho de jugar un torneo en tres con el nuevo campeón y el ganador del próximo ciclo de tres años de los candidatos. Las partes se jugaron en la Sala de Conciertos Tchaikovsky de Moscú. Los secondants eran Ragozin y Botvinnik para Flohr, Konstantinopolsky a Bronstein.

    Bronstein era un jugador enérgico a diferencia de la "científica" Botvinnik.

    La verdad es que Bronstein estaba en la cima de su llegada al campeonato del mundo. La página web Chessmetrics establece la clasificación Elo post: 03 1951, Bronstein es # 1 en el mundo, mientras que Botvinnik es el # 7. Bronstein es los fogosos jóvenes (27 años) se enfrentan al monumento Soviética (39).

     

    Bronstein Botvinnik define como un "buen comunista". El papel de Botvinnik en el ajedrez soviético aún hoy en día no se entiende bien porque se disgustaba generalmente por los otros grandes maestros soviéticos.

     

    Ambas partes antes del final del partido, Bronstein fue líder por un punto. En la vigésimo tercera parte con las piezas negras, se perdió varias oportunidades de cancelar. El juego fue aplazado y dos tiros después de la reanudación del juego, Bronstein olvidó su análisis. Abandonó el disparo 57a del vigésimo tercera parte en una posición de asfixia, casi en Zugzwang. El software ofrece a la final: los alfiles son superiores a los caballos y protegerán de forma permanente las piezas blancas.

     

     

     

    En la vigésimo cuarta y última parte, evitar las complicaciones Bronstein y Botvinnik igualó en el golpe XVI con los negros.

     

    Algunos autores han sospechado que las amenazas ejercidas sobre Bronstein estaban causando su derrota del juego 23, pero Bronstein nunca ha confirmado, indicando simplemente "presión psicológica" de múltiples orígenes:

     

    "A menudo se le preguntó si me vi obligado a bajar de la parte 23a estaba y si había una conspiración contra mí para impedirme tomar el título de Botvinnik. Un montón de tonterías se ha escrito sobre él. La única cosa que estoy dispuesto a decir sobre esta controversia es que he sido sometido a presión psicológica de diversas fuentes, y que era totalmente de mí si para soportar esta presión.

     

    Tenía razones para no convertirse en campeón del mundo porque en ese momento, tal título significaba introduce una burocracia oficial mundial de ajedrez lleno de obligaciones formales. Tal posición no era compatible con mi personaje. Desde mi infancia, aprecio la libertad (...). Me complace hoy haber mantenido los mismos sentimientos y disfrutar de mi libertad. "


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  • ENGLISH

    WORLD CHAMPIONSHIP 1951

     

     

     

    FREEDOM ABOVE ALL ...

     

    This was one of the most important world championships, the most unusual and the tightest of chess history. First game of the post-war (and first since fourteen), he opposed two champions all opposed, and was marked by a strange beginning (eight players using two completely different openings on the first eight parts) a crossover permanent and dramatic end (the challenger loses the penultimate part acquired roughly a benefit).

     

    Match the conditions agreed at the 1949 FIDE congress in Paris The winner would be the first to score 12 points in 24 games maximum.

    In case of tie, Botvinnik retained his title.

    The time control was 40 moves in 2 1/2 hours, then 16 moves per hour thereafter, with an adjournment to the next day after five hours of play. According to FIDE rules, the winner would receive 5000 and the loser $ 3,000 USD. If the World Champion (Botvinnik) lost, he had the right to play a tournament in three with the new champion and the winner of the next three-year cycle of the candidates. The parts were played at the Tchaikovsky Concert Hall in Moscow. The secondants were Ragozin and Botvinnik for Flohr, Konstantinopolsky to Bronstein.

    Bronstein was an energetic player unlike the "scientific" Botvinnik.

    The truth is that Bronstein was at the top of his arriving at the world championship. The website Chessmetrics establishes Elo ranking post: in March 1951, Bronstein is # 1 in the world, while Botvinnik is # 7. Bronstein is the fiery young (27 years) face the Soviet monument (39).

     

    Bronstein Botvinnik defined as a "good Communist." The role of Botvinnik in Soviet chess even today is not well understood because it was generally disliked by the other major Soviet masters. 

    Both parties before the end of the match, Bronstein was leading by one point. In the twenty-third part with the black pieces, he missed several chances to cancel. The game was adjourned and two shots after the resumption of the game, Bronstein forgot his analysis. He abandoned the 57th shot of the twenty-third part in a choking position, almost in Zugzwang. The software gives the final: the bishops are superiors to knights and will permanently protect the white pawns.

     

     

    In the twenty-fourth and last part, avoided the complications Bronstein and Botvinnik equalized in the sixteenth hit with blacks. 

    Some authors have suspected that the threats exerted on Bronstein were causing his defeat of the 23rd game, but Bronstein has never confirmed this, stating simply "psychological pressure" of multiple origins: 

    "Often asked if I was forced to lose the 23rd part I was and if there was a conspiracy against me to prevent me from taking the title from Botvinnik. A lot of nonsense has been written about it. The only thing that I am prepared to say on this controversy is that I have been subjected to psychological pressure from various sources, and that it was entirely up to me whether to withstand this pressure.

     

     

    I had reasons not to become world champion because at that time, such a title meant you enter an official world chess bureaucracy filled with formal obligations. Such a position was not consistent with my character. Since my childhood, I appreciate the freedom (...). I am pleased today to have kept the same feelings and to enjoy my freedom. "


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  • CHAMPIONNAT DU MONDE 1951

    LA LIBERTE AVANT TOUT...

    Ce fut l'un des championnats du monde les plus importants, les plus insolites et les plus serrés de l'histoire des échecs. Premier match de l'après-guerre (et premier depuis quatorze ans), il opposa deux champions que tout opposait, et fut marqué par un début étrange (les deux joueurs utilisant huit ouvertures complètement différentes sur les huit premières parties) un chassé-croisé permanent et une fin dramatique (le challenger perdant à l'avant-dernière partie un avantage rudement acquis).

     

    Les conditions de match avait été décidé à la Paris au congrès FIDE 1949. Le vainqueur serait le premier à marquer 12 points en 24 matches maximum.

    En cas de match nul, Botvinnik conservait son titre.

    Le contrôle du temps était de 40 coups en 2 heures et 1/2, puis 16 mouvements à l'heure par la suite, avec un ajournement pour le lendemain après cinq heures de jeu. Selon les règles de la FIDE, le gagnant recevrait 5000$ et le perdant 3000$. Si le champion du monde (Botvinnik) perdait, il avait le droit de jouer un tournoi à trois avec le nouveau champion et le vainqueur du prochain cycle de trois ans des candidats. Les parties ont été joués au Tchaïkovski Concert Hall de Moscou. Les secondants étaient Ragozin et Flohr pour Botvinnik, Konstantinopolsky pour Bronstein.

    Bronstein était un joueur énergique contrairement au «scientifique» Botvinnik.

    La vérité est que Bronstein était au sommet de son art en arrivant au championnat du monde. Le site Chessmetrics établit un classement Elo a posteriori : en mars 1951, Bronstein est #1 mondial, tandis que Botvinnik est #7. Bronstein est le jeune fougueux (27 ans) face au monument soviétique (39 ans).

     

    Bronstein définissait Botvinnik comme un «bon communiste". Le rôle de Botvinnik dans les échecs soviétiques, aujourd'hui encore, n'est pas bien compris car il était généralement détesté par les autres grands maîtres soviétiques.

     

    Deux parties avant la fin du match, Bronstein menait d'un point. Dans la vingt-troisième partie, avec les pièces noires, il manqua plusieurs chances d'annuler. La partie fut ajournée et deux coups après la reprise de la partie, Bronstein oublia son analyse. Il abandonna au 57e coup de la vingt-troisième partie, dans une position étranglée, pratiquement en Zugzwang. Les logiciels donnent la finale : les fous sont supérieurs aux cavaliers et vont protéger durablement les pions blancs. 

     

    Dans la vingt-quatrième et dernière partie, Bronstein évita les complications et Botvinnik égalisa au seizième coup avec les Noirs.

     

    Certains auteurs ont soupçonné que des menaces exercées sur Bronstein étaient à l'origine de sa défaite de la 23e partie, mais Bronstein n'a jamais confirmé cela, faisant simplement état de « pressions psychologiques » d'origines multiples :

     

    « On m'a bien souvent demandé si j'avais été forcé à perdre la 23e partie, et s'il y avait une conspiration contre moi pour m'empêcher de prendre le titre de Botvinnik. Un tas d'âneries ont été écrites à ce sujet. La seule chose que je sois prêt à dire sur cette controverse est que j'ai été soumis à une pression psychologique émanant de diverses sources, et que c'était entièrement à moi de résister ou non à cette pression.

    J'avais des raisons de ne pas devenir Champion du monde car à cette époque, un tel titre signifiait que vous entriez dans un monde officiel de bureaucratie echiquéenne, rempli d'obligations formelles. Une telle position n'était pas compatible avec mon caractère. Depuis mon enfance, j'apprécie la liberté(...). Je suis heureux d'avoir gardé aujourd'hui les mêmes sentiments et de pouvoir profiter de ma liberté. »

     

     


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  • LA STATISTIQUE QUI NE SERT A RIEN

    Quelle pièce a le plus de chance de survivre (hormis le roi bien sûr)?

    l'article complet sur Slate


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    LES CHAMPIONS DU MONDE

     

    SONT-ILS CHANCEUX?

     

     

    Par Matthew S. Wilson

    version anglaise : are-the-che-world-champions-just-lucky?

    "Un bon joueur est toujours chanceux" - Capablanca

     

    1972. Fischer vient d'écraser Spassky par 12,5 à 08,5. La façon dont il s'est qualifié pour le match n'est pas moins impressionnante: en 1970, il a remporté l'Interzonal avec un stupéfiant 18,5 / 23, 3,5 points d'avance sur son plus proche rival, et en 1971 il a battu Larsen et Taimanov par 6-0. Dans la finale des Candidats, l'ancien champion du monde Tigran Petrosian subissait un 2,5-6,5 contre lui. Aucun doute, Fischer est le joueur le plus fort au monde; comment de tels résultats pourraient se produire par hasard?

     

    Mais tous les champions du monde n'ont pas été aussi convaincants.

    Euwe peine à battre Alekhine, l'emportant par seulement 15,5 à 14,5, même si Alekhine a eu des problèmes d'alcoolisme grave sous-estimé par son adversaire. Deux ans plus tard, un Alekhine revigoré l'emporte 15,5 à 9,5 dans un match revanche. La victoire de Euwe en 1935 était-elle un coup de chance? Longtemps Euwe fut probablement le champion du monde le moins respecté, jusqu'à ce que les tournois à élimination directe de la FIDE couronnant des joueurs comme Khalifman, Ponomariov et Kasimdhzhanov. Par la suite les tournois à élimination directe ont été dénoncés comme étant une loterie et la FIDE révisa le cycle du championnat du monde (sauf pour les filles, éternelles parents pauvres de la fédération internationale ndlr).

     

    Alors, comment pouvons-nous distinguer entre les champions «chanceux» mondiaux comme Khalifman et les champions "convaincants" du monde comme Fischer? Comment pouvons-nous être sûr que le vainqueur d'un match est vraiment le meilleur joueur du monde? Heureusement, il existe des techniques statistiques pour répondre à ces questions.

     

    Commençons par l'analyse historique de 1972 et la victoire de Fischer sur Spassky. Le processus comporte trois étapes:

     

    Supposons que chaque joueur est également susceptible de gagner à chaque match et ensuite exécuter des simulations du match. Eh bien, en fait nous avons besoin d'un peu plus d'information.

    J'ai analysé tous les matchs de championnat du monde, et ils semblent se diviser en trois catégories. Dans l'ère «pré-Capablanca", seulement 31% des parties de championnat du monde finissent en nulles. Avec l'amélioration de la théorie, les erreurs sont devenus moins fréquents et le taux de nulle augmente à 53% de 1927 à 1963. Depuis 1966, le taux de nulles a été relativement stable, à 66%. Le match de Fischer appartient à la dernière catégorie. Ainsi, pour chaque jeu dans les simulations, l'ordinateur va supposer qu'il ya une chance de 66% de nulles, une chance de 17% d'une victoire de Fischer, et une chance de victoire Spassky 17%. Plus tard, nous allons tester ces hypothèses. Après avoir simulé 40.000 matchs, nous passons à l'étape 2.

     

    Prenez le résultat qui a effectivement eu lieu et utilisez les simulations pour connaître sa probabilité. Fischer ne se présentent pas pour le jeu 2 et perd par forfait. Si l'on exclut ce jeu, il a remporté le match 12,5 à 7,5. Revenant sur les simulations, nous mesurons alors la probabilité de gagner par au moins 12,5 à 7,5. Ces résultats se produisent dans seulement 8,3% des simulations - ce nombre est appelé la p-valeur.

     

    Utilisez le résultat de l'étape 2 de réévaluer l'hypothèse à l'étape 1. Au début, nous avons supposé que les joueurs étaient d'égales valeurs. Mais si cela était vrai, alors il ya seulement une chance de voir une telle victoire que de 8,3%. C'est peu probable, donc notre hypothèse que les joueurs sont égaux est probablement faux. Au lieu de cela, nous concluons que Fischer est melleur.

     

    En regardant les matches des candidats de Fischer, 016% des résultats donne un joueur gagner 6-0 face à un adversaire d'égale valeur, donc les raclées infligées par Fischer à Taimanov et Larsen représentent presque sûrement sa supériorité plutôt que de la chance.

     

    Maintenant, qu'en est-il des autres hypothèses? Est le taux de nulle constant à 66% tout au long du match? Il est facile d'imaginer que des victoires peuvent changer le taux de nulle: peut-être après avoir remporté une partie, un joueur est excité et plus confiant, de sorte que la probabilité de gagner augmente. Ou peut-être le gagnant devient complaisant dans le jeu suivant tandis que le perdant est motivé pour se venger. Les parties décisives peuvent certainement modifier la psychologie des joueurs, mais ont-elles affecter réellement le résultat du prochain match? Pour tester cela, je examiné les résultats des jeux immédiatement après une victoire ou une perte. Dans l'ère moderne, le joueur qui a gagné le jeu précédent a 15% de « chances » de gagner, 19% de perdre, et un 66% de nulle. Cela diffère légèrement de notre hypothèse de 17%, 17% et 66%, respectivement. Toutefois, un test statistique simple révèle que les différences ne sont pas significatives. Je courus des tests similaires pour 1927-1963 et pré-1927, et a atteint la même conclusion: il n'y a pas assez de preuves pour rejeter nos hypothèses.

     

    Donc, nous pouvons conclure avec certitude que Fischer était meilleur que Spassky. Devrions-nous trouver aussi la victoire de Euwe sur Alekhine plus convaincante? Une fois de plus, nous commençons en supposant que Euwe et Alekhine sont égaux. Dans le match, Euwe a gagné par 15,5 à 14,5. Quelle est la probabilité d'une telle victoire? Il se trouve que si deux joueurs tout aussi forts jouent un match dans les mêmes conditions, une victoire au moins aussi bonne de Euwe se produira dans 88,3% des cas. Des victoires similaires se produisant si souvent signifie qu'il n'y a aucune raison de revenir sur notre hypothèse de départ : les joueurs sont égaux. Euwe n'a pas montré de façon convaincante sa supériorité - son triomphe pourrait très bien avoir été un coup de chance. Dans la revanche en 1937, Alekhine a prévalu par 15,5 à 9,5, et une grande marge de victoire estimée à seulement 10,5% des simulations si nous supposons que les joueurs sont égaux. En d'autres termes, la valeur de p est de 10,5%. Typiquement les statisticiens rejettent leur hypothèse de départ que si la p-valeur est inférieure à 10%, mais ici, la valeur est très proche. Compte tenu de la grande victoire de Alekhine, il est peu probable que Euwe soit son égal.

     

    Cependant, Euwe est pas le seul dont la victoires ne serait pas convaincante pour un statisticien. Peut-être Capablanca méritait un match retour après avoir perdu par 15,5 à 18,5 face à Alekhine, dont la p-valeur est de 62,6%. Nous ne pouvons pas rejeter la possibilité que Alekhine et Capablanca étaient en fait égaux. Même Botvinnik avec un 13-8 contre Tal en 1961 ne parvient pas à impressionner: la p-valeur, à 16,6%, est supérieure à 10%. Karpov avec +6 -2 =10 contre Korchnoi en 1981 est l'une des rares exceptions, ayant une valeur p de 9,1%. Sauf pour le score de 3,5 à 0,5 Anand contre Shirov en 2000 (valeur p = 2,9%!), Les champions du tournoi FIDE ont été assez peu convaincants. Le meilleur résultat, Ponomariov avec 4,5 contre 2,5 face à Ivanchuk, a encore tout à fait une p-valeur élevée: 32,2%.

     

    Ainsi les champions du monde seraient-ils chanceux ?

     

     

    Tout d'abord, nous devons être prudents dans l'interprétation de nos résultats. Noter qu'un p-valeur de 16,6% pour Botvinnik-Tal en 1961 ne prouve pas qu'ils sont également de bons joueurs. Au contraire, cela signifie seulement que nous ne pouvons pas rejeter la possibilité qu'ils sont égaux. Nous n'avons donc pas prouvé que le 13-8 de Botvinnik est un coup de chance. En outre, il y a certains facteurs que l'analyse statistique ne peut pas prendre en compte. Si un joueur déjoue constamment son adversaire, nous pouvons voir qu'il est meilleur, même si le score du match est proche. Mais les statistiques ne regardent que les résultats et non pas à la qualité du jeu. La plupart des champions du monde accumulent la crédibilité de leurs victoires de match en dominant aussi des tournois d'élite - ceci est également ignoré dans l'analyse statistique. Par exemple, aucun des matches les victoires de Kasparov sur Karpov n'était statistiquement significative. Nous pouvons reformuler la question différemment : à partir de 1985, ce qui est la probabilité de gagner 3½ matches sur quatre contre Karpov? La valeur p est légèrement inférieur à 20%. Ceci n'est encore pas statistiquement significative. Mais si nous combinons cette information avec de nombreuses victoires en tournois de Kasparov et son long règne (1984-2005), alors il est facile de se persuader que Kasparov était vraiment le meilleur joueur du monde à son époque.


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  • MATE IN 3


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    CHAMPIONNAT DU MONDE FEMININ

     

    La ville de Lviv (Ukraine) a envoyé à la FIDE une demande pour organiser le match entre la championne du monde Mariya Muzychuk (2528) et sa challenger Yifan Hou (2676), ancienne championne du monde, numéro 1 mondiale (et de loin!) mais qui n'avait pu participer au dernier tournoi mondial.

    Le match aura lieu au mois de mars 2016.

     

    Voici le pronostic de victoire de ce championnat du monde selon Lilou.


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  • FRANCAIS

    L'attaque Stonewall est un système d'ouverture caractérisé par les coups blancs 1.d4, 2.e3 3.f4 et 4.c3 habituellement suivis de 5.Fd3.

    Le cas de la stonewall est unique dans le monde des ouvertures. C'est l'une des façons les plus simples de jouer et pourtant, c'est l'une des ouvertures les plus rarement jouées dans les tournois (le gambit dame lui est souvent préféré).

    Elle est idéale pour les joueurs qui souhaitent entrer dans un milieu de partie sans avoir à apprendre beaucoup de théorie. Si la théorie actuelle considère qu'il s'agit d'un système permettant aux noirs d'égaliser facilement, faut-il encore connaître le chemin pour y arriver. Or cette attaque n'est pas très jouée.

    Il s'agit en fait d'une ouverture fermée et très stratégique ou finalement il suffit à chaque coup de trouver le coup le plus précis parmi 2 ou 3 coups intéressants. L'intérêt majeur de ce système, en dehors de l'avantage psychologique, c'est un plan adaptable mais surtout préparé.

    L'effet de surprise d'une arme peu connue et peu théorique est indéniable : l'adversaire doit improviser un bon plan et ce n'est pas si facile. Le temps et l'énergie gagnée dans l'ouverture peuvent se retrouver en fin de partie ou en finale. Par ailleurs, le joueur qui joue cette ouverture la connaît bien mieux que son adversaire qui la verra rarement.

    Si les Noirs ne réagissent pas avec assez d'énergie, les Blancs peuvent lancer une redoutable attaque sur le roi noir, typiquement avec Cf3-e5, l'avancée du pion g pour chasser le cavalier adverse, puis en sacrifiant le fou sur h7 avant d'amasser des pièces lourdes sur la colonne h. L'attaque est si violente que les Blancs ne prennent parfois pas la peine de mobiliser le cavalier b1 ni le fou c1.

    Les faiblesses de la formation Stonewall sont le trou en e4 et le fait que le fou c1 est bloqué par sa propre chaîne de pions. Si les Noirs se défendent de façon précise, ces faiblesses peuvent s'avérer sérieuses et c'est la raison pour laquelle on rencontre rarement cette ouverture à un haut niveau.

    Les Noirs disposent de plusieurs façons de se défendre. Une possibilité est de placer un ou deux fous en fianchetto, le coup ...g6 annihilant les idées de Fxh7+. Les Noirs peuvent également jouer ...b6 puis ...Fa6 pour tenter d'échanger le dangereux fou de cases blanches adverse. Un développement rapide du fou de cases blanches en f5 contribue également à neutraliser l'attaque blanche.

    Néanmoins je dois mettre en garde tout joueur décidant de jouer ce système contre le risque de sclérose que l'on coure en ne jouant que cette ouverture. En effet, le fait que l'on retrouve sans cesse le même type de position fermée avec un mur de béton et l'absence d'un centre dynamique risque d'être sclérosant à long terme. C'est pourquoi, il est important de jouer également d'autres ouvertures. Il est donc important de ne pas apprendre la Stonewall aux débutants. Il me paraît nécessaire d'attendre que sa vision du jeu soit suffisamment évoluée pour lui proposer une telle ouverture.

     

    ENGLISH

    The Stonewall attack is an opening system characterized by white moves 1.d4, 2.e3 and 3.f4 4.c3 usually followed 5.Bd3.

    The case of the stonewall is unique in the world of openings. This is one of the simplest ways to play and yet it is one of the most often played in tournaments openings (the Queen's Gambit is often preferred him).

    It is ideal for players who wish to enter a middle game without having to learn a lot of theory. If the current theory holds that it is a system that allows black to equalize easily, should we still know the way to get there. But this attack is not very played.

    This is actually a very open and closed strategic or finally just on every shot to find the most accurate shot from 2 or 3 interesting shots. The major advantage of this system, apart from the psychological advantage is an adaptable but above prepared plan.

    The surprise of a little known and little theoretical weapon is undeniable: the opponent must improvise a good plan and it is not so easy. The time and energy gained in the opening can be found later in the game or in the final. Furthermore, the player who plays this opening the much better known than his opponent who rarely see.

    If Black does not react with enough energy, White can launch a formidable attack on the black king, typically with Nf3-e5, the advance of the g-pawn to drive the opposing knight, then sacrificing the bishop on h7 before raise heavy parts on the h column. The attack was so violent that whites sometimes do not bother to engage the knight nor the crazy b1 c1.

    The weaknesses of the training are the Stonewall hole e4 and the fact that the mad c1 is blocked by its own chain of pawns. If Black defend accurately, these weaknesses can be serious and that's why we rarely encounter this opening at a high level.

    Blacks have several ways to defend themselves. One possibility is to place one or two bishops in fianchetto, stroke ... g6 annihilating ideas Fxh7 +. Black can also play b6 ... then ... Fa6 to try to exchange the dangerous madman adversely white boxes. A rapid development of the crazy white squares f5 also helps neutralize the white attack.

     

    However I must warn any player deciding to play this system against the risk of sclerosis that one runs by playing only the opening. Indeed, the fact that we find constantly the same type of closed position with a concrete wall and the absence of a dynamic center may be sclerosing long term. Therefore, it is important to also play other openings. It is therefore important not to learn the Stonewall beginners. I find it necessary to wait until the vision of the game is sufficiently advanced to propose such an opening.


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  • DUTCH CHAMPIONSHIP

    THE #12 WORLD NATIONAL CHAMPIONSHIP

     

     

     

    FINAL RANKING

     

    1 Giri, Anish 5,5 pts

    2 Van Wely, Loek 4,5 

    3 Van Kampen, Robin 4

    4 Bok, Benjamin 4

    5 Ernst, Sipke 3,5 

    6 L'Ami, Erwin 2,5 

    7 Tiviakov, Sergei 2

    8 Pruijssers, Roeland 2

     


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  • FIND THE BEST MOVE FOR WHITE

     

     

    Qc3+


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  • FIND THE BEST MOVE FOR BLACK

     

     

     

    Bh2+


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  • FIND THE BEST MOVE FOR WHITE

     

     

    solution : 

    Qxd6


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  •  

     

    FINAL RANKING

     

    1 Caruana, Fabiano 5,5 pts

    2 Nisipeanu, Liviu-Dieter 4

    3 So, Wesley 4

    4 Kramnik, Vladimir 3,5

    5 Naiditsch, Arkadij 3

    6 Nepomniachtchi, Ian 3

    7 Hou, Yifan 2,5 

    8 Meier, Georg 2,5

     


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